Dans Wrath: Aeon of Ruin vous possédez un superbe fusil de chasse, un coup de pied qui au lieu de vous refaire le visage il vous frappe direct a l’orgueilleux et une artillerie trés lourde.

Tout exlabousse dans ce jeu et toute est tape a l’œil « surtout son graphique » mais en y reviens plus tard.

L’épée massive avec laquelle vous commencez, le pistolet à trois chambres que vous prenez ensuite, le pistolet qui tire des gouttes de bile connu sous le nom de Retcher, qui pour le moment éclabousse un peu trop efficacement.

Le jeu bien qu’Ill est clair tout l’effort et la volanté des développeur d’en faire un grand jeu, le jeu se situe quelque part dans l’interaction entre des espaces 3D complexes et perfides et une main désincarnée tenant un pistolet.

Quant à savoir si Wrath est en passe de devenir un grand titre de tir, c’est un peu compliqué .
Wrath est développé par les jeux KillPixel et publié par la dernière itération de 3D Realms qui a récemment publié Ion Fury, qui a n’a pas trop été le bien venu ni acclamer par la critique.

Outre le nom de l’éditeur, l’une des principales revendications d’authenticité rétro de Wrath est qu’il est développé dans le moteur Quake d’origine.

Ou du moins, la version la plus récente et raffinée du moteur Quake d’origine.
L’intention de Wrath est tout à fait claire, être le successeur de Quake.

Alors que Quake II a dérivé dans la science-fiction industrielle avec des armes décevantes et des mouvements de personnages semblables à une limace rampant dans un tuyau de drainage, Wrath ramène les joueurs dans des voûtes gothiques obsédantes rôdant par des zombies et des horreurs eldritch.

Au départ, Wrath n’est pas l’assaut foudroyant contre les sens attendu.

Vous commencez dans un grand monde de hub qui relie les différents niveaux du jeu, tous les arbres noueux et les rochers imminents.

Ya un trein grand travail sur l’ambiance dans Wrath, cette approche se poursuit jusqu’au premier niveau il semble que Wrath vous donnera une certaine flexibilité dans l’ordre dans lequel vous choisissez d’aborder les niveaux. Les Undercrofts sont un labyrinthe sombre de catacombes pierreuses qui finissent par s’ouvrir pour révéler une vaste nécropole, ses cimetières et ses mausolées saupoudrés de neige.
Et c’est vraiment vaste.

Alors que le niveau moyen de Quake peut être complété en quelques minutes, il m’a fallu la meilleure partie d’une heure pour naviguer dans la masse tentaculaire des Undercrofts.

Et c’était purement à la recherche de la fin du niveau, pas d’arrêt pour des secrets ou des chemins au-delà de ceux que j’ai immédiatement remarqués dont il n’y a pas de pénurie.

C’est un peu époustouflant de conception de niveau old-school.

Une carte filaire de style DOOM aiderait à réduire une partie de la frustration.

En ce qui concerne les frustrations, le système de sauvegarde est inutilement compliqué, vous offrant des sauvegardes manuelles limitées auxquelles vous devez accéder via un menu, ainsi que des  sanctuaires activés manuellement qui agissent comme des points de contrôle.

Néanmoins, il s’agit toujours d’une base FPS solide.

Mis à part le Retcher surpuissant, les armes exposées se sentent bien.

Les ennemis sont tout aussi amusants à faire exploser.

Wrath rend même ses ennemis flottants amusants à combattre, y compris une créature terrifiante semblable à un Cerbère mais juste la tète y’a pas de corps qui vous charge de trois ensembles de dents.
Wrath: Aeon of Ruin peut continuer à fournir ces niveaux gigantesques et nuancés tout en renforçant l’élan du jeu, je pense que cela pourrait devenir quelque chose de spécial.

Wrath: Aeon of Ruin review

6

GRAPHIQUE

4.0/10

HISTOIRE

5.0/10

GAME PLAY

7.0/10

DURÉE DE VIE

8.0/10

Pros

• Un potentiel successeur a Quake
• Offre un challenge respectable
• Très bonne atmosphère adéquat au style de jeu

Cons

• Graphiquement n'est pas a la hauteur
• Trop de similitude avec DOOM Eternal
• Des complexité qui se rapproche du travail bâcler plus que du challenge
• C'est quoi ce principe de sauvegarde a deux balle ?